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Stellamaris
-
1896, Ferdinand Frèche¸ médecin et aristocrate parisien, plonge dans une profonde dépression suite au décès de son épouse. Il fuit la capitale pour se réfugier en Touraine, se coupant du monde en espérant échapper à ses souvenirs.
C'est dans ce refuge que vient le retrouver son vieux complice de faculté : Louis Delerre, lui-même médecin à Tarare, petite bourgade du Rhône. Bien décidé à venir en aide à son ami, il lui fait alors une surprenante proposition : venir s'installer et exercer dans un petit village, accroché au sommet du col éponyme, perdu dans les collines et les bois de l'Ouest Lyonnais : Les Sauvages. Contre toute attente, Ferdinand accepte.
À peine arrivé, Ferdinand Frèche est confronté à de surprenantes révéla-tions concernant une sinistre histoire d'assassinat remontant à trente années plus tôt et dont personne ne souhaite parler. Témoin malgré lui, il va découvrir les rivalités entre les Maupuis et les Malaterre, deux familles du village, et la chape de plomb jetée sur le meurtre de la belle Bérangère.
Fiction teintée d'histoire locale réelle, c'est une balade dans la France rurale de la fin du XIX ° siècle. -
Ce ne sera plus l'horreur des épines, ni des clous, ni des crachats. Ni de la trahison, ni du mensonge, encore moins de la puanteur. Nous ne vivrons plus les affres du désespoir, de l'humiliation, de la douleur infinie. Jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Ce sera comme un défi.
Reviendront du sud les oiseaux blancs, des nus de toutes les couleurs, pour veiller avec patience sur le silence d'un tombeau absolument vide.
Tu leur diras merci aux réjouissances, aux cruches de rosé et de rouge, au pain, à l'huile et aux olives. Au miel et aux fruits qui mûriront dans la chaleur capiteuse du soleil, dans les grands secrets des ventres enfin comblés d'aise. Tu béniras aussi la gravité des fentes et des verges qui sommeillent innocemment sous et sur des pubis dévoilés.
Tu rendras grâce à la parole rouge.
Elle n'aura plus jamais rien à cacher.
Ce sera bien, tu verras.
Et tu sauras.
Tu sauras que l'enfant reviendra. -
Et si la sensualité était la clef du bonheur ?
Qu'elle soit au coeur de votre vie ou que vous n'y ayez jamais pensé,
qu'elle vous fascine ou que vous n'ayez jamais osé,
cet ouvrage vous propose une initiation à la sensualité.
Et si nous nous libérions des tabous, des diktats des beautés photoshopées ?
Si nous nous autorisions à ressentir notre beauté intime,
celle qui illumine les visages et délie les corps ?
Si nous laissions notre vie chanter, crier son besoin de liberté ?
Thérapie Sensuelle est un hymne à joie, une caresse qui nous fait du bien,
un déménagement intérieur vers le monde magique de tous les possibles ! -
Luxy Dark est une artiste qui conjugue le talent au pluriel.
De la peinture à la danse orientale en passant par l'écriture ou le chant,
elle cherche sans cesse à sublimer les émotions.
Émotigraffs
vous propose un voyage dans votre propre vie.
Écoutez votre coeur voyager dans ses textes.
Laissez-vous envoûter par la magie de ses tableaux.
La finitude de l'homme, l'équilibre du couple, la magie de l'enfantement,
la transmission des valeurs à travers les générations,
la force qui unit les êtres et les démons qui déchirent l'âme,
vous retrouverez tous ces thèmes dans cet album "poémographique".
L'oeuvre de Luxy Dark se situe quelque part entre
douceur, violence et sensualité.
Ouvrez une parenthèse dans la course de votre vie
et partez à la découverte d'une part oubliée de vous-même. -
Gemme : « résine de pin » ou « pierre précieuse ». Les Gemmes de Damien, ce sont, d'abord, ces flots tumultueux et incantatoires qui s'échappent de l'essence vitale du poète comme une révolte, une recherche de pouvoir sur soi-même et sur le monde, la création épique d'un univers puissant de désordre et de feu. Une poésie qui déroute et qui brûle les yeux, une poésie qui ressemble à un cri venu des profondeurs, une gorge qui crache.
Et puis ce sont ces chants plus simples et clairs du coeur, emprunts de tendresse et précieux de douceurs, où l'on retrouve des visages de femmes, l'innocence et la beauté de l'âme apaisée.
Bamby -
Thérèse Ruffault-Jombart est originaire du Nord de la France, région à laquelle elle est très attachée.
Après une carrière d'enseignante, elle se lance dans l'écriture, le moyen, pour elle, de garder le contact avec
« ses » élèves. Auteur de deux romans pour adolescents, puis d'un essai/témoignage sur l'adoption, elle aime aller à la rencontre de ses lecteurs partout où on la demande.
Elle a été intronisée ROSATI en 2012.
« Derrière le masque » est son premier recueil de poèmes. L'auteur s'y livre à une réflexion sur les diverses significations des masques, sur sa quête d'identité et s'y dévoile dans des poésies tantôt néo-classiques, tantôt libérées.
On y découvre une femme sensible, pleine de fantaisie, qui aime la vie sans modération et a par-dessus tout « le goût des autres ».
« Dans mes veines, mon sang bat plus fort,
Je sens les battements de mon coeur.
Pulsions de vie, encore, encore.
Je prends la vie en corps à coeur ». -
Durant la Révolution, alors que les écoles religieuses sont supprimées au profit d'établissements laïcs, Louis-Joseph Jay, peintre et fervent jacobin, est nommé professeur de dessin dans la toute nouvelle École centrale établie à Grenoble.
Louis-Joseph Jay, qui est un homme d'enthousiasme, a des projets plein la tête, et dans une époque où tout est à repenser, il a l'audace de vouloir créer un musée des Beaux-Arts à Grenoble.
Les oppositions sont féroces et la tâche est ardue pour qui veut innover dans le contexte politique mouvant et dangereux du moment ; et lorsqu'un certain Bonaparte prend le pouvoir, tout est remis en cause. Aux prises avec des difficultés de tous ordres, Louis-Joseph Jay parviendra-t-il à atteindre son but ? -
Au pays des Montagnes Noires, une jeune fille du Clan de la Grande Harde s'avance courageusement. Elle vient consulter Ghotan, le chaman du Clan des Corbeaux afin qu'il l'aide à retrouver ses parents disparus par un matin d'hiver dans la neige et le froid.
Elle ignore, la jolie Shona, que son destin est en marche. Rien ne saura l'arrêter : ni la peur, ni le froid, ni les
cailloux qu'on sèmera sur son chemin ; pas même Kanik le rebelle.
Drwou, le dragon et Jaska, le harfang des neiges,
veilleront sur elle.
Ghotan, le vieux chaman, heureux et rassuré, va pouvoir rejoindre le Royaume des Ténèbres. -
Je ne sais pas parler du bonheur.
N'est-il pas temps que j'apprenne ?
Un pas, puis deux dans la lumière...
Comme un enfant apprend à marcher.
*
1918-1920
De Schelesen à Prague...
Franz K. rencontre Julie W.
« Une jeune fille qui m'aime et que j'aime... »
(Pourrons-nous un jour - simplement - devenir mari et femme ?)
« Hochzeit und heiraten... »
(Notre noce, puis s'unir...)
Jusqu'aux jours d'amertume ramenant aux rivages de Riva...
Noces éternelles entre l'amour impossible et la mort invisible.
*
Dourvac'h a déjà publié les romans L'été et les ombres (2009/rééd. 2014) et Grand Large (2013).
Dourvac'h signifierait « Cascade » en langue bretonne. -
À la veille du pique-nique annuel, Jürgen, Reuther et Günter fomentent leur évasion de Le Grand Jour, une structure spécialisée qui accueille des adultes en difficulté ou déficients. Jürgen est cleptomane, Reuther passionné par la vie extra-terrestre, Günter chasseur de mouches. Ils rêvent de liberté et d'aventures extraordinaires, de joies moins artificielles que celles que leur procurent les petites pilules qu'on leur fait ingurgiter. Mais dans la forêt, dans les montagnes, sur ces chemins inconnus, faibles et démunis, comment pourraient-ils survivre ?
Eddy vient de partir. Sandrine ne l'avait pas vu depuis quelques jours. Jimmy veut se marier, Sandrine ne voit pas en quoi cela perturbe autant son ex-mari. Se sont-ils posé autant de questions, il y a quelques années, avant de passer devant M. le Maire ? Ils auraient peut-être dû. Elle se remémore leur rencontre, leur mariage, leur divorce, et tout ce qui a fait sa vie jusqu'à aujourd'hui. De ses rêves de jeunesse à sa retraite artistique, que de chemin parcouru !
À la fois roman intimiste et roman d'aventures, Le Grand Jour oppose deux mondes : le monde sage, libre, et celui des fous. Mais
« Le fou n'est pas l'homme qui a perdu la raison. Le fou est celui qui a tout perdu, excepté la raison », dit G.K. Chesterton ; autrement dit, la folie, ce petit grain qui détraque parfois toute la machine, est bien présent en chacun de nous. Sommes-nous tous bons à enfermer ? -
Pour cimenter la rectitude par une législation juste,
Nul besoin d'être un fin législateur. Il suffit juste
De monter sur la tribune et d'énoncer les valeurs
Universelles que le Ciel a gravées dans le coeur
De tous les hommes, mais faudrait-il une
Tribune qui soit plus élevée que la tribune
Du parlement, une tribune d'où l'on pourrait
Être entendu de l'univers, une tribune qui saurait
Être accessible à tous les hommes. Gloire à ceux
Qui monteront sur cette tribune pour raviver le feu
Sacré de la vertu céleste qui ruisselle
Dans les coeurs avec le feu de l'amour universel. -
C'était le rêve de toute une vie et, malgré les cyclones domestiques, le rêve est devenu réalité.
Septembre 2014, l'heure de la retraite a sonné pour le capitaine et moi-même, nous offrant la liberté de disposer de tout le temps nécessaire pour voguer autour du monde. Nous embarquons sur l'Embellie avec notre dernier fils.
Voici mon livre de bord écrit durant cette première année de voyage au cours de laquelle notre bel oiseau blanc nous a menés, pour notre plus grand bonheur, de la Guyane à la Polynésie française où Léo a choisi de faire ses deux dernières années de lycéen.
La mer est belle,
la mer est belle,
la mer est belle,
la mer est SUPER belle...
Ou l'émerveillement sans cesse renouvelé de naviguer sous la Voie lactée, la tête dans les étoiles.
M.C. -
Les crayons semblaient onduler, appel enjôleur ainsi qu'une mer dansante. Elle refusa de succomber entièrement à cet appel car elle savait pertinemment qu'elle passerait des heures à faire fusionner ses images internes avec le papier. Alors, elle prit une feuille blanche sur laquelle elle écrivit
- J'ai des milliers de choses à te raconter. -
Au fil de l'eau ma muse libelle sa vague poétique
Montagnac Beatrice
- Stellamaris
- 30 Avril 2021
- 9782368687116
À Béatrice
Ô Béa ton amour, passion dois-je dire
Pour les rimes d'antan a mis devant mes yeux
Cet îlet sans pareil ces jours-ci sous les cieux,
Là tu fis accueillie au sein de gens de lyre.
L'amitié, noble mot, tel un parfum de myrrhe
Est en ce bel endroit un soleil radieux
Épandant sa lumière en éclairs précieux
D'un horizon d'avril au très large sourire.
Si de Ronsard je n'ai ni le cran ni l'entrain,
Si blafard et chétif te paraît mon quatrain
J'ai pour y pallier, en sus d'un coeur honnête,
Un esprit exigeant franchise et bonne foi.
Tes écrits sont des rus que les doigts d'un esthète
Font jaillir du pinceau. Les chanter au lutrin
- J'en suis sur - ne rendrait leur beauté plus parfaite.
De tout vers ciselé naît un charmant émoi.
M. Zeid -
À toi l'ami virtuel,
Tu aimes mon mur, tu voudrais mieux me connaître,
Hum... alors soit prévenu des lieux :
Chez moi c'est l'Enfer.
Je ne le dis pas en plaisantant, je ne le dis pas à la légère,
Garde-toi de toutes mes bonnes intentions, ne joue pas le preux.
J'y ai joué aussi antan, malheureux, depuis j'habite en Enfer.
Je n'ai pas de chien à trois têtes, j'ai juste une brave bête
Un peu boucan comme moi, un peu too much comme moi.
Borderline ? Nein, Nein, Nein, aie les pieds sur terre,
Évite ma séduction, je suis très naïve parfois,
Mais sois-en sûr : je vis en Enfer.
Je ne dramatise pas, vois-tu j'ai cette chance, cette faculté,
L'opportunité, le don valeureux de m'en évader dans la volupté
Et je prends les cieux pour amants.
En ça je baise Satan - littéralement s'entend -
Qui n'y peux rien faire que de me ramener céans.
Eh oui, l'ami virtuel, je vis en Enfer !
Ce n'est pas dramatique, faut avoir la pratique et la dynamique
De jouer des paraboles et des hyperboles, de les mettre en paroles,
Tout ça depuis tant de siècles que j'en ai fait mon affaire ;
Mes propos te heurtent, que serait-ce si la meute
Partait à tes trousses ?
Quelle sainte frousse te mettrait ventre à terre !
Non, n'insiste pas, ne musarde même pas,
Moi je m'y suis habituée,
J'ai des pieds de bouc et la tête pleine de chimères.
Je t'aurai prévenu, Facebook :
L'Enfer c'est chez moi. -
Les textes de ce recueil sont des petits clins d'oeil à des animaux, pour la plupart familiers, rencontrés à la chasse... mais pas seulement !
-
« On peut tout perdre du jour au lendemain comme moi, par mes textes j'aimerais partager des valeurs comme l'humanité et le respect. »
Brigitte Janssen -
Qui a jamais osé demander à Hector Berlioz, depuis qu'à l'exemple du Penseur de Rodin, il s'est posé le menton sur la main il y a soixante-cinq ans, à quoi donc il pense... ?
À la prochaine Symphonie Fantastique ? Au drame de Roméo et Juliette ? Ou encore à Victor Hugo, son exact contemporain, l'immense écrivain qui a donné son nom illustre à cette grande Place de notre ville où il médite chaque jour sans bouger ?
Vingt-huit impressions ou images fugaces d'un voyage immobile pour chaque saison qui passe, brossées à la diable sur un banc un jour ou bien un autre, dans ce grand square au coeur de la ville qui s'est voulue un jour capitale, en trois maigres lignes de haïkus pour ceux et celles qui comme moi, continuent à s'émerveiller de ce qui reste encore la plus grande beauté du Monde : celle du quotidien... -
Dans la seconde partie du XVIIIème siècle, les faïenceries du faubourg Très-Cloîtres à Grenoble et de La Tronche à Saint Ferjus sont prospères.
La création d'un nouveau décor, un "chinois bossu", va être à l'origine d'un imbroglio qui va conduire deux peintres en faïence, Pierre Lesas et Jean-Baptiste Clément, dans une aventure rocambolesque.
Ce roman, très documenté, raconte l'histoire de ces peintres en faïence dans un contexte particulier. En raison du poids des impôts et de l'augmentation du prix du pain, le mécontentement gronde dans le royaume.
L'importance du rôle du Parlement dans la ville de Grenoble, seul rempart contre les édits royaux, va amener à un soulèvement de la population de la ville et de ses faubourgs afin de le défendre, lors de la Journée des tuiles, prémice de la révolution française. -
Par un après-midi brumeux, début avril 1945, un avion Bücker 181 est abattu près de Strasskirchen, en Bavière, par un pilote de chasse.
Dans le cockpit on découvre une femme : Melitta Schenk, anciennement connue sous le nom de "Litta" von Stauffenberg... -
Cette pièce de théâtre, burlesque et gigogne, est le condensé lacunaire de notes de travail et de réflexions engrangées durant plusieurs décennies de cours de théâtre sur le mime, le masque ou le clown en France et à l'étranger. Il informe, échange, controverse à toutes fins utiles.
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La peinture étant une pratique de sensibilité singulière, notre regard sur une toile vierge est celui d'un homme devant une femme nue inspirant au plus profond de nous de fortes sensations et perceptions. Celles-ci nous mettent, bien évidemment, en état de tension, une forme de peur de ne pas la satisfaire à travers notre acte de peindre.(...) Partant de cette angoisse, se pose la question : comment trouver le point G de ma peinture à travers les formes à donner à mon sujet et les couleurs chaudes ou froides qui s'y rattachent ?
Joe Okitawonya Malandy
Féminine par nature, sensuelle, érotique et érotisante, la peinture ne peut orbiter qu'autour du Point G comme la lune autour de la terre, deux formes cosmiques féminines rondes comme des ventres de femmes enceintes. (...) En peignant « je fais l'amour » à mes tableaux, dit Joe Okitawonya Malandy pour qui « la peinture est une femme » que vous ne pouvez apprécier que « si vous savez vraiment aimer une femme ».
Lazhari Labter
Joe Okitawonya Malandy est né 2 fois, bio-
logiquement le 10 février 1978 à Kinshasa en République démocratique du Congo, artistiquement en Algérie. Après des études à l'École supérieure des beaux-arts d'Alger où il obtient son diplôme en 2010 et une riche activité durant son séjour en Algérie, il rejoint en 2012 la France ou il vit et travaille actuellement tout en gardant des liens très étroits avec l'Algérie, son pays d'adoption comme il aime à dire. -
Coron'haïkus... De cette parenthèse incroyable dans nos vies que fut pour tous le confinement du printemps 2020, il fallait bien écrire suivant l'inspiration et au fil des jours les saynètes improvisées, cocasses ou absurdes, comme les pensées légères ou profondes, drôles ou mélancoliques, toutes nées d'un quotidien inédit.
Soixante-quatre poèmes courts en trois lignes, sur le modèle des haïkus japonais, empreints d'humour mais aussi de retenue, de tendresse et d'espoir pour évoquer cet entre-temps suspendu que chacun de nous aura vécu comme il est et à sa propre façon...
Virus de printemps ?
Plein de boutons dans les prés ;
Secrète contagion... -
Passé la tourbière
Les pieds quittent le sol
Et flottent dans l'ivresse des cailloux qui roulent
La forêt élevée comme un vitrail vers le couchant
Raconte une histoire hautaine
À qui regarde
Au-dessus du chemin
*
Geai gardien des mousses et des sources
De tous les rêves des hêtres de la forêt
Qui calmera ta colère